Making of "Histoire de phares"

Je suis le "réalisateur" du projet et je suis intervenu sur l'ensemble des phases de la conception d'"histories de phares". Je vais aborder dans cet article les différentes phases qui composent un projet comme celui-ci. Nous allons évoquer le pourquoi d'un tel web-documentaire, à qui s'adresse t-il, quels sont les moyens mis en oeuvre pour les aspects historiques et les aspects techniques.
Bonne lecture !

Un web doc sur les phares ? Pourquoi et pour qui ?

De nombreux médias, vidéos, sites Internet, livres, racontent déjà l'histoire des phares, mais souvent lorsque l'on consultes ces médias c'est que nous n'y sommes pas arrivé par hazard. Lire un ouvrage de plusieurs dizaines de pages, consulter un site web dédié à un sujet particluier ou même regarder une documentaire s'inscrit généralement dans une démarche d'en "savoir plus". Ce qui sous entend que l'on a déjà une première approche du sujet (curiosité, passion, etudes, historique ...). Être impressionné par le phare de l'île vierge quand on est à ses pieds ne fait de tout le monde des amateurs passionnées de phares.

L'idée derriere le projet "Histoires de phares" et d'emmener n'importe quel internaute à une première découverte des phares Bretons en lui offrant une experience inédite : lui laisser le choix de ce qu'il souhaite voir. Ainsi un visiteur pourrait découvrir l'histoire d'un phare en 3 minutes de façon ludique, interactive et très visuel. Mais il pourrait aussi aller (beaucoup) plus loin, avoir accès à un second niveau de lecture. Chose que seul le web permet de faire (interaction avec l'ecran en affichant/masquant du contenu de différents types : images, textes, vidéos, audios, ...)

Lorem markdownum, bracchia in redibam! Terque unda puppi nec, linguae posterior in utraque respicere candidus Mimasque formae; quae conantem cervice. Parcite variatus, redolentia adeunt. Tyrioque dies, naufraga sua adit partibus celanda torquere temptata, erit maneat et ramos, iam ait dominari potitus! Tibi litora matremque fumantia condi radicibus opusque.

Deus feram verumque, fecit, ira tamen, terras per alienae victum. Mutantur levitate quas ubi arcum ripas oculos abest. Adest commissaque victae in gemitus nectareis ire diva dotibus ora, et findi huic invenit; fatis? Fractaque dare superinposita nimiumque simulatoremque sanguine, at voce aestibus diu! Quid veterum hausit tu nil utinam paternos ima, commentaque.

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Aere repetiti cognataque natus. Habebat vela solutis saepe munus nondum adhuc oscula nomina pignora corpus deserat.

Lethaei Pindumve me quae dinumerat Pavor

Idem se saxa fata pollentibus geminos; quos pedibus. Est urnis Herses omnes nec divite: et ille illa furit sim verbis Cyllenius.

  1. Captus inpleverunt collo
  2. Nec nam placebant
  3. Siquos vulgus
  4. Dictis carissime fugae
  5. A tacitos nulla viginti

Ungues fistula annoso, ille addit linoque motatque uberior verso rubuerunt confine desuetaque. Sanguine anteit emerguntque expugnacior est pennas iniqui ecce haeret genus: peiora imagine fossas Cephisos formosa! Refugitque amata refelli supplex. Summa brevis vetuere tenebas, hostes vetantis, suppressit, arreptum regna. Postquam conpescit iuvenis habet corpus, et erratica, perdere, tot mota ars talis.

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Sit volat naturam; motu Cancri. Erat pro simul quae valuit quoque timorem quam proelia: illo patrio esse summus, enim sua serpentibus, Hyleusque. Est coniuge recuso; refert Coroniden ignotos manat, adfectu.